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Composition
Peu connu, il est de notoriété publique que les Ondines seraient entièrement composées de femmes bannies dans les terres du nord d’Almar. Personne n’ayant jamais vu d’homme dans leur rang, cette information est considérée comme véridique jusqu’à preuve du contraire par le Gouvernement du Royaume de Salmofer tout comme par le peuple. Leur nombre est inconnu et rares sont ceux ayant pu revenir pour conter leur expérience.
Histoire
Les Ondines se sont formées dans les années 406-407, d’autres pensent que c’est seulement à ce moment qu’elles ont commencé à manifester leur mépris et qu’elles étaient là depuis bien plus longtemps.
Attaquant quiconque s’enfonçant trop profondément dans la forêt de la région, de moins en moins revenaient de ces conflits. Le commerce d’Almaroc commençait à en pâtir car pour la majorité de l’exploitation minière les travailleurs devaient passer par le territoire des Ondines. Un conflit de plus grande envergure se mit en marche, envoyant plusieurs groupes en armes mais seuls une poignée revint. Ils décrivaient des femmes intouchables se faisant lever la brume pour se rendre invisible et utilisant le chant pour désorienter les forces en armes pendant que d’autres, camouflées et silencieuses, abattaient une à une leurs proies à l’aide d’armes primitives mais tout aussi bien mortelles. Même la fuite en devient difficile avec la brume épaisse qu’elles semblent contrôler.
Peu convaincu, le seigneur de la région, Adryan de Capnier, envoya plusieurs autres groupes pour le même résultat jusqu’en 408 où ce que l’on appelle “la pièce des Ondines” mit un terme à la volonté du peuple et du gouvernement de les contrarier davantage.
Sortant de la forêt pour envahir la ville, cette dernière se vit plongée dans son intégralité dans une brume épaisse. La majorité du peuple, effrayé, se tapirent chez eux sans un bruit, espérant voir les lueurs de l’aube suivante. Ceux traînant dans les rues furent refroidis à la manière des Ondines, leurs chants montant petit à petit jusqu’à la demeure du Seigneur de Capnier qui jamais n’aura vu les premiers rayons de la journée suivante. Il laissa derrière son trépas sa femme, Charlotte de Capnier, son enfant à naître, ainsi qu’une cité traumatisée.
C’est suite à cet évènement que la population quitta massivement la région d’Almar qui sera alors connue sous le nom de Chantebrume. Un communiqué de la Reine Sofia d’Orart de Salmofer conclut de dépeupler la zone et de déconseiller son accès jusqu’à nouvel ordre.
Réputation et Rumeur
Les Ondines seraient considérées comme pratiquantes de sorcellerie et davantage perçues comme agissant telles des bêtes sauvages. Elles provoquent souvent la haine et la peur en souvenir de “la pièce des Ondines”.
Personne ne sait si le clan qu’elles forment est encore en activité depuis ces dix années, aucun rapport ne les mentionnent.
Certains disent qu’elle sont des femmes anciennement bannies pour avoir procréé hors mariage après avoir été battues et forcées à la fausse couche par un groupe extrémiste. D’autres disent que c’est un regroupement de femmes cannibales qu’on a découvert en ville et qui se sont enfuies avant d’être retrouvées et pendues.
Peu connu, il est de notoriété publique que les Ondines seraient entièrement composées de femmes bannies dans les terres du nord d’Almar. Personne n’ayant jamais vu d’homme dans leur rang, cette information est considérée comme véridique jusqu’à preuve du contraire par le Gouvernement du Royaume de Salmofer tout comme par le peuple. Leur nombre est inconnu et rares sont ceux ayant pu revenir pour conter leur expérience.
Histoire
Les Ondines se sont formées dans les années 406-407, d’autres pensent que c’est seulement à ce moment qu’elles ont commencé à manifester leur mépris et qu’elles étaient là depuis bien plus longtemps.
Attaquant quiconque s’enfonçant trop profondément dans la forêt de la région, de moins en moins revenaient de ces conflits. Le commerce d’Almaroc commençait à en pâtir car pour la majorité de l’exploitation minière les travailleurs devaient passer par le territoire des Ondines. Un conflit de plus grande envergure se mit en marche, envoyant plusieurs groupes en armes mais seuls une poignée revint. Ils décrivaient des femmes intouchables se faisant lever la brume pour se rendre invisible et utilisant le chant pour désorienter les forces en armes pendant que d’autres, camouflées et silencieuses, abattaient une à une leurs proies à l’aide d’armes primitives mais tout aussi bien mortelles. Même la fuite en devient difficile avec la brume épaisse qu’elles semblent contrôler.
Peu convaincu, le seigneur de la région, Adryan de Capnier, envoya plusieurs autres groupes pour le même résultat jusqu’en 408 où ce que l’on appelle “la pièce des Ondines” mit un terme à la volonté du peuple et du gouvernement de les contrarier davantage.
Sortant de la forêt pour envahir la ville, cette dernière se vit plongée dans son intégralité dans une brume épaisse. La majorité du peuple, effrayé, se tapirent chez eux sans un bruit, espérant voir les lueurs de l’aube suivante. Ceux traînant dans les rues furent refroidis à la manière des Ondines, leurs chants montant petit à petit jusqu’à la demeure du Seigneur de Capnier qui jamais n’aura vu les premiers rayons de la journée suivante. Il laissa derrière son trépas sa femme, Charlotte de Capnier, son enfant à naître, ainsi qu’une cité traumatisée.
C’est suite à cet évènement que la population quitta massivement la région d’Almar qui sera alors connue sous le nom de Chantebrume. Un communiqué de la Reine Sofia d’Orart de Salmofer conclut de dépeupler la zone et de déconseiller son accès jusqu’à nouvel ordre.
Réputation et Rumeur
Les Ondines seraient considérées comme pratiquantes de sorcellerie et davantage perçues comme agissant telles des bêtes sauvages. Elles provoquent souvent la haine et la peur en souvenir de “la pièce des Ondines”.
Personne ne sait si le clan qu’elles forment est encore en activité depuis ces dix années, aucun rapport ne les mentionnent.
Certains disent qu’elle sont des femmes anciennement bannies pour avoir procréé hors mariage après avoir été battues et forcées à la fausse couche par un groupe extrémiste. D’autres disent que c’est un regroupement de femmes cannibales qu’on a découvert en ville et qui se sont enfuies avant d’être retrouvées et pendues.
